Joker de folie douce
Aujourd’hui je suis invité pour la première fois par une personne qui sait que je fais de la chrono mais n’en connaît pas la pratique. J’ai petit-déjeûné selon les règles, au gramme près, puis je
suis parti à la découverte de sensations nouvelles.
Elle pousse un cri d’admiration en me revoyant pour la première fois depuis presque un an : oui, j’ai changé. Ce cri est ma plus belle récompense pour le chemin parcouru sans privation ni frustration. (Et tant pis si je commence à ressembler à Charlie Chaplin dans mes anciennes fringues…)
Ne connaissant pas mes nouvelles habitudes elle a prévu un repas de crudités que nous préparons ensemble sous un rayon de soleil : carottes, avocats, salade, patate douce, radis, salade de riz saupoudrée de curry de Madras, et pour finir une part de tome des Pyrénées. Puis, vers 17h00, avant de partir, un gâteau au chocolat dans lequel, sous le coup de l'émotion, elle a oublié la farine. J’adore son goût et son onctuosité, d'autant plus que cet oubli en fait quasiment une « recette chrono » !
Sur le retour, vers 18h00, je m’arrête au buffet de la gare pour une glace et un café. Puis à 19h30 il me prend l’envie de consommer un kebab turc en guise de dîner : impossible de penser à des fruits de mer.
Il n’y a pas de recette pour les jokers, sauf de laisser souffler un petit vent de folie. :-)
Elle pousse un cri d’admiration en me revoyant pour la première fois depuis presque un an : oui, j’ai changé. Ce cri est ma plus belle récompense pour le chemin parcouru sans privation ni frustration. (Et tant pis si je commence à ressembler à Charlie Chaplin dans mes anciennes fringues…)
Ne connaissant pas mes nouvelles habitudes elle a prévu un repas de crudités que nous préparons ensemble sous un rayon de soleil : carottes, avocats, salade, patate douce, radis, salade de riz saupoudrée de curry de Madras, et pour finir une part de tome des Pyrénées. Puis, vers 17h00, avant de partir, un gâteau au chocolat dans lequel, sous le coup de l'émotion, elle a oublié la farine. J’adore son goût et son onctuosité, d'autant plus que cet oubli en fait quasiment une « recette chrono » !
Sur le retour, vers 18h00, je m’arrête au buffet de la gare pour une glace et un café. Puis à 19h30 il me prend l’envie de consommer un kebab turc en guise de dîner : impossible de penser à des fruits de mer.
Il n’y a pas de recette pour les jokers, sauf de laisser souffler un petit vent de folie. :-)
Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
T